À l’heure où les crises économiques et sanitaires frappent de plein fouet les foyers de l’Hexagone, il existe des solutions pour sortir la tête de l’eau. On pense notamment aux cas des SCPI, qui peuvent se révéler être très performantes en matière d’investissement. Si certaines d’entre elles se spécifient dans certains domaines, il semblerait que l’immobilier locatif résidentiel ait le vent en poupe. Cependant, l’optimisation de cette spécificité nécessite d’appliquer plusieurs prérequis. Zoom sur les méthodes pour optimiser sa pratique de l’immobilier locatif résidentiel.
Un secteur en plein boom
La majorité des SCPI de rendement n’investit pas en immobilier locatif résidentiel. Mais il existe des exceptions. La SCPI Kyaneos Pierre est bien cotée en matière d’usage d’habitation. Attention toutefois, car cette dernière possède 20 % de locaux tertiaires ou professionnels. Si le prix initial de la part minimale d’investissement était de 1000 euros au départ, les choses ont bien changé puisque ce montant a été revalorisé de 6%. En affichant des chiffres record lors des années 2018 et 2019, cette SCPI se présente une stratégie cohérente visant à acquérir des immeubles construits ou à construire qui accorde une véritable part à la performance énergétique.
Attention aux conditions de souscription
Évident pour une majorité d’investisseurs, on préfère le préciser pour que vous évitiez les mauvaises surprises. Avant de se lancer dans l’aventure de la SCPI, il est capital de vérifier les conditions de souscription. De la part d’investissement minimal aux dividendes en passant par les frais de souscription, rien ne doit être laissé au hasard. Dans cette optique, n’hésitez pas à parcourir les avis d’anciens investisseurs. Cela peut vous donner des indications précieuses. Malgré certains clichés, l’apport minimal n’est pas obligatoirement exorbitant. Penchez-vous sur les chiffres actuels, vous vous apercevrez que cette pratique se démocratise dans l’Hexagone. Au point de devenir une référence ? Rien n’est moins sûr.